samedi 14 mars 2009

Alice

A aucun moment, Lewis Carroll ne précise qu'Alice est blonde.

3 commentaires:

  1. Marie, ce que je trouve marquant dans cette illustration (indépendamment de la palette choisie et du graphisme qui sont splendides !), c'est l'angle de vue. Cette perspective offre une dimension profonde à l'image et témoigne du désespoir d'Alice, perdue dans ce long couloir cauchemardesque.
    Tu as ajouté un cadre qui traduit une certaine fixité dans les larmes d'Alice ; c'est toute l'histoire de cette petite fille résumée à une idée principale : Alice prise au piège d'un monde absurde.
    Je ne sais pas si mon analyse est juste, Marie, c'est simplement l'expression de mon ressenti.
    :-)

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  2. Oh que tu es gentille Jenny. ^-^
    En fait, j'aime bien ton analyse même si au moment ou je fais un dessin, je ne réfléchit pas vraiment à tout ça... Je travaille plutôt intuitivement.

    Biz à toi.

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  3. Je ne suis pas étonnée de ta façon de travailler. :-)
    Tous les artistes développent l’intuition, c’est leur moteur premier de création. Et puis, elle est forcément reliée à l’inspiration. C'est ça le vrai talent. Et je salue le tien.

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