Comme tu peux l'imaginer - et ce n'est pas nouveau -, j'aurais tant de choses à t'écrire avec mes pseudo-analyses introspectives devant cette illustration que tu as retravaillée ! Ton univers m'inspire toujours de grandes envolées textuelles, tu le sais bien... Me voilà aujourd'hui aussi désarmée qu'envahie par les émotions suscitées par ce dessin, tout ce à quoi il fait appel en moi. J'éprouve un sentiment qui me ramène à des ressentis particulièrement intimes, passéistes voire quasi inavouables. Mais, d'un autre côté, c'est, je le crois, ce à quoi est destiné l'Art en général : faire réagir, produire une étincelle dans le regard... Tu es une artiste généreuse, Marie. Tu offres beaucoup à travers ton blog, générateur de curiosité, d'interrogations... Plus généralement, chacun d'entre nous peut y puiser tout à tour apaisement, et même y trouver quelques échos à ses propres états d'âmes profondément enfouis (ou pas).
Doit-on s'imprégner de l'image figée d'une jeune femme qui coule dans les abysses dans une position fœtale réconfortante ? S'agit-il d'une renaissance ? Mais veut-elle seulement ne jamais évoluer dans l'ordre logique des choses, au rythme de la vie, refusant toute émancipation, bercée pour l'éternité dans le nid douillet maternel ? A moins qu'il soit question d'un besoin irrépressible de s'isoler dans le silence des eaux qui emplit les tympans. Toi seule pourrais exprimer le sens profond de ton œuvre. Et, éventuellement, la raison pour laquelle tu as souhaité retravailler ce dessin précis.
Je voulais te demander : as-tu concrétisé ce projet que tu avais de contacter un imprimeur afin de commercialiser tes créations sous la forme d'affiches ? C'est que je suis intéressée, tu t'en doutes. :-)
Peut-être y a t-il un moyen de mettre en évidence un lien vers ta propre boutique par exemple... Cela doit être faisable, je le suppose, compte tenu du fait que je l'ai vu ailleurs... Un petit topo avec plein de codes htlm dedans et hop, C'est parti !
Je suis plutôt nulle en matière de commerce et tout ce qui a trait à la publicité m'échappe. Dis-moi, si tu veux bien, s'il y a déjà un moyen de te commander des productions. Quoi qu'il en soit, je persiste à dire que tu gagnerais à être connue et reconnue. Cela dit, je me fie, bien naïve, au seul nombre de commentaires postés et peut-être suis-je trop pragmatique et ne mesure pas bien ta réelle notoriété IRL si je puis dire.
En vérité, je suis loin d'être une pro en la matière : je ne possède ni galerie (un vieux rêve pourtant !) et ne possède que de piètres connaissances artistiques. Aussi, je privilégie plutôt ce que je ressens.
J'ose croire que tu rencontres tout le succès, toute la reconnaissance que tu mérites par ailleurs, à travers ton activité de graphiste notamment.
[ To be continued... I'm too talkative this evening... -_-' ]
... Quelle ironie du sort ! C'est le processus inverse qui s'est opéré puisque c'est toi qui, à travers "Variation sur le même thème", fais appel à un texte que j'avais écrit il y a quelques années, au sujet de celle qui m'aura portée durant neuf mois.
Amis de la poésie et du vague à l'âme, bonsoir. :-/ Il est de notoriété publique que les malades convalescents et déprimés de surcroît sont parfois submergés par des souvenirs maussades.
Madame Crève-cœur
Issue d’une fille de mauvaises mœurs et d’un père de passage Bébé Crève-cœur voit le jour en 1956 sous le ciel d’une Algérie sage Recueillie par des gens fortunés On la dit "bien née" Et quand en 62 elle quitte le Monde Arabe en rage, Avec ses yeux couleur orage, La fillette oublie vite les murmures de son cœur Et les tendres chants de ses sœurs
Cap sur l’Ile de Beautés Elle accoste à Ajaccio sous un déluge souillé S’est confectionné pour l’âme un habit d’Enfer Orné de boutons de fer Pour mieux tirer le fiel De ses aigreurs plurielles Dani Crève-cœur crache sur les chants du soleil "Corsica mon Amour", c’est bon pour la corbeille Elle a perdu servantes et majordomes pour toute peine Tandis qu’à Oran, Mademoiselle Danielle était reine
Plus tard Dani pleure maman Morte de chagrin parce que déchue de son rang Elle a perdu la tête Et Dani la regrette Mais la haine obscurcit l'esprit Quand à sa majorité elle fuit, C’est à Paris qu’elle échappe au courroux De l’aînée rapetout Les affaires d’héritage ont ceci d’infect Qu’elles abîment parfois l’affect
De son balcon de la Capitale Mademoiselle Crève-cœur éprouve un vertige fatal Elle tricote sa pelote de haine Puis défait les mailles chez un thérapeute près de la Seine Dani rencontre un accordeur de piano atteint de cécité Fort épris et passionné Il la sauve de l'abysse La retient chaque fois qu’elle glisse Mais chaque nouveau matin, Le réveil sonne tel un tocsin Le fil du temps est pour Dani un calvaire Dans l’adversité elle apprend à se complaire
L’embryon qu'elle portait aurait dû lutter pour ne pas voir le jour Il ignorait que l’existence lui jouerait de vilains tours Dani est bien déçue d’avoir une fille Et le couple s’étiole, part en vrille Si le père est fou d’amour pour sa princesse aux petits pieds Le bébé indiffère la mère qui laisse le mari s’en accommoder
Sur un coup de tête, Dani divorce Et le tic-tac de la bombe s’amorce Quand elle rencontre un homme ignoble dans le Sud de la France Lequel ne songe qu’à sa panse C'est à coups de poings la nuit qu'il accueillera la petite Jenny La mère feignant d’ignorer la violence du manipulateur Merci Madame Crève-cœur !
Quand le cœur malade du papa à jamais s’est arrêté Les forces de la fillette l’ont quittées
Pour l’heure, Dani danse, elle danse... Sur les cendres du souvenir rance, De sa fille meurtrie De celle qu’elle n’a jamais chérie Et détruit, crucifie sans fin L'unique rose de son jardin
Jenny
----------------------------------- Je te ferai parvenir des récits plus joyeux, Marie. C'est évident ! L'un de ceux qui se rapportent à un univers tout doux, proche du tien, loin des brimades, des larmes et du cœur en miettes. La souffrance morale est universelle mais je m'efforce de me concentrer sur la pensée positive, pour me réfugier dans une bulle de récits fantasmagoriques.
Tu pourras les utiliser pour les mettre en image...ou pas du tout d'ailleurs ! selon qu'ils t'inspirent ou non, sans que jamais je n'en prendrai ombrage. Sois-en sûre. :-)
Ma petite Jenny, sache que si tu es touchée par cette illu, je lui suis tout autant en lisant ce commentaire, et en découvrant chaque fois un peu plus de toi à travers eux. :)
Je dois partir aujourd'hui rencontrer un ami, mais je reviendrais très vite te répondre plus précisément... pour la petite explication quant à la création de cette illu. ^-^
Merci aussi pour ton texte, qui est, oui, vraiment très sombre et sans doute trop par rapport à cette illu, mais que j'aime beaucoup, et qui servira donc assurément de base à une prochaine illu,... parce que gloomymary a sa part d'ombre, et bien que celle-ci me semble appartenir de plus en plus au passé, je ne peux l'oublier et il en restera toujours des traces, aussi infimes soient elles.
Je te souhaite également une excellente journée, Marie. :-) Tu as tout à fait raison : avec le recul, je me rends compte à quel point il y a un réel décalage entre les sentiments de flottement et de bien-être que reflètent ton illustration et mon petit récit autobiographique très sombre. Les associations d'idées sont parfois inconscientes, foudroyantes et font écho à des histoires vécues et éprouvantes. -__-' De fait, je m'en veux un peu d'avoir noirci ton joli trait...
Tu n'as pas du tout noirci mon joli trait comme tu dis. T'inquiète pas. C'est vrai qu'il peut y avoir un coté sombre dans cette illu. La fille est seule et dans l'obscurité. Et comme l'eau symbolise souvent l'inconscient et tout ce qui peut s'y passer de positif comme de négatif, on peut donc y voir un coté sombre. Par contre, elle n'a pas l'air mal (bien que dans le premier dessin, elle avait une larme, donc tu vois...) mais plutôt sereine dans ce milieu aquatique apaisant rappelant le ventre d'une mère. Mon processus créatif est souvent très primaire, je ne réfléchis pas beaucoup à toute une symbolique complexe. Disons que j'ai souvent un thème, et qu'ensuite, je me laisse aller à une impression que m'évoque ce théme... :)
Par rapport à la vente de mes illus, rien n'est encore fait... qu'est-ce que je peux traîner moi des fois. Si tu me files ton adresse mail, je pourrais t'en dire plus concernant mes idées à ce sujet.
Gros bisous gentille et sensible Jenny (que j'apprécie beaucoup... et pas seulement parce que tu es ma fan number 1). ;)
Mon dieu, je saisis seulement maintenant, à la relecture de tes messages, que le récit que tu m'as fait parvenir est une histoire personnelle. :( Que dire? Evidemment, je suis touchée par ton histoire et ta colère, et je comprends bien mieux à présent ce que tu as pu ressentir à la vue de mon dessin. J'aimerais te mettre le smiley qui te prend dans mes bras, mais on n'est pas sur un forum...
Tout ce que je peux te souhaiter est que tu parviennes à trouver ce que tout les événements difficiles de ta vie t'ont apporté comme qualités au bout du compte.
Merci Sandrine. Je comptais justement te l'envoyer, une fois qu'il sera imprimé, et je compte aller voir un ou 2 imprimeur aujourd'hui justement (juste pour renseignements niveaux prix, papiers, ect ... pour l'instant).
"Merci de ne pas vous approprier, d'utiliser ou de modifier mes images sans mon autorisation. Elles ne sont pas libres de droits. Vous êtes tenus de mentionner mon nom et l'adresse de mon site. Merci."
Ma chère Gloomy-dreamy-Mary,
RépondreSupprimerComme tu peux l'imaginer - et ce n'est pas nouveau -, j'aurais tant de choses à t'écrire avec mes pseudo-analyses introspectives devant cette illustration que tu as retravaillée !
Ton univers m'inspire toujours de grandes envolées textuelles, tu le sais bien...
Me voilà aujourd'hui aussi désarmée qu'envahie par les émotions suscitées par ce dessin, tout ce à quoi il fait appel en moi.
J'éprouve un sentiment qui me ramène à des ressentis particulièrement intimes, passéistes voire quasi inavouables. Mais, d'un autre côté, c'est, je le crois, ce à quoi est destiné l'Art en général : faire réagir, produire une étincelle dans le regard... Tu es une artiste généreuse, Marie. Tu offres beaucoup à travers ton blog, générateur de curiosité, d'interrogations... Plus généralement, chacun d'entre nous peut y puiser tout à tour apaisement, et même y trouver quelques échos à ses propres états d'âmes profondément enfouis (ou pas).
Doit-on s'imprégner de l'image figée d'une jeune femme qui coule dans les abysses dans une position fœtale réconfortante ? S'agit-il d'une renaissance ? Mais veut-elle seulement ne jamais évoluer dans l'ordre logique des choses, au rythme de la vie, refusant toute émancipation, bercée pour l'éternité dans le nid douillet maternel ? A moins qu'il soit question d'un besoin irrépressible de s'isoler dans le silence des eaux qui emplit les tympans.
Toi seule pourrais exprimer le sens profond de ton œuvre. Et, éventuellement, la raison pour laquelle tu as souhaité retravailler ce dessin précis.
Je voulais te demander : as-tu concrétisé ce projet que tu avais de contacter un imprimeur afin de commercialiser tes créations sous la forme d'affiches ?
C'est que je suis intéressée, tu t'en doutes. :-)
Peut-être y a t-il un moyen de mettre en évidence un lien vers ta propre boutique par exemple... Cela doit être faisable, je le suppose, compte tenu du fait que je l'ai vu ailleurs... Un petit topo avec plein de codes htlm dedans et hop, C'est parti !
Je suis plutôt nulle en matière de commerce et tout ce qui a trait à la publicité m'échappe. Dis-moi, si tu veux bien, s'il y a déjà un moyen de te commander des productions. Quoi qu'il en soit, je persiste à dire que tu gagnerais à être connue et reconnue. Cela dit, je me fie, bien naïve, au seul nombre de commentaires postés et peut-être suis-je trop pragmatique et ne mesure pas bien ta réelle notoriété IRL si je puis dire.
En vérité, je suis loin d'être une pro en la matière : je ne possède ni galerie (un vieux rêve pourtant !) et ne possède que de piètres connaissances artistiques. Aussi, je privilégie plutôt ce que je ressens.
J'ose croire que tu rencontres tout le succès, toute la reconnaissance que tu mérites par ailleurs, à travers ton activité de graphiste notamment.
[ To be continued... I'm too talkative this evening... -_-' ]
... Quelle ironie du sort ! C'est le processus inverse qui s'est opéré puisque c'est toi qui, à travers "Variation sur le même thème", fais appel à un texte que j'avais écrit il y a quelques années, au sujet de celle qui m'aura portée durant neuf mois.
RépondreSupprimerAmis de la poésie et du vague à l'âme, bonsoir. :-/
Il est de notoriété publique que les malades convalescents et déprimés de surcroît sont parfois submergés par des souvenirs maussades.
Madame Crève-cœur
Issue d’une fille de mauvaises mœurs et d’un père de passage
Bébé Crève-cœur voit le jour en 1956 sous le ciel d’une Algérie sage
Recueillie par des gens fortunés
On la dit "bien née"
Et quand en 62 elle quitte le Monde Arabe en rage,
Avec ses yeux couleur orage,
La fillette oublie vite les murmures de son cœur
Et les tendres chants de ses sœurs
Cap sur l’Ile de Beautés
Elle accoste à Ajaccio sous un déluge souillé
S’est confectionné pour l’âme un habit d’Enfer
Orné de boutons de fer
Pour mieux tirer le fiel
De ses aigreurs plurielles
Dani Crève-cœur crache sur les chants du soleil
"Corsica mon Amour", c’est bon pour la corbeille
Elle a perdu servantes et majordomes pour toute peine
Tandis qu’à Oran, Mademoiselle Danielle était reine
Plus tard Dani pleure maman
Morte de chagrin parce que déchue de son rang
Elle a perdu la tête
Et Dani la regrette
Mais la haine obscurcit l'esprit
Quand à sa majorité elle fuit,
C’est à Paris qu’elle échappe au courroux
De l’aînée rapetout
Les affaires d’héritage ont ceci d’infect
Qu’elles abîment parfois l’affect
De son balcon de la Capitale
Mademoiselle Crève-cœur éprouve un vertige fatal
Elle tricote sa pelote de haine
Puis défait les mailles chez un thérapeute près de la Seine
Dani rencontre un accordeur de piano atteint de cécité
Fort épris et passionné
Il la sauve de l'abysse
La retient chaque fois qu’elle glisse
Mais chaque nouveau matin,
Le réveil sonne tel un tocsin
Le fil du temps est pour Dani un calvaire
Dans l’adversité elle apprend à se complaire
L’embryon qu'elle portait aurait dû lutter pour ne pas voir le jour
Il ignorait que l’existence lui jouerait de vilains tours
Dani est bien déçue d’avoir une fille
Et le couple s’étiole, part en vrille
Si le père est fou d’amour pour sa princesse aux petits pieds
Le bébé indiffère la mère qui laisse le mari s’en accommoder
Sur un coup de tête, Dani divorce
Et le tic-tac de la bombe s’amorce
Quand elle rencontre un homme ignoble dans le Sud de la France
Lequel ne songe qu’à sa panse
C'est à coups de poings la nuit qu'il accueillera la petite Jenny
La mère feignant d’ignorer la violence du manipulateur
Merci Madame Crève-cœur !
Quand le cœur malade du papa à jamais s’est arrêté
Les forces de la fillette l’ont quittées
Pour l’heure, Dani danse, elle danse...
Sur les cendres du souvenir rance,
De sa fille meurtrie
De celle qu’elle n’a jamais chérie
Et détruit, crucifie sans fin
L'unique rose de son jardin
Jenny
-----------------------------------
Je te ferai parvenir des récits plus joyeux, Marie. C'est évident !
L'un de ceux qui se rapportent à un univers tout doux, proche du tien, loin des brimades, des larmes et du cœur en miettes.
La souffrance morale est universelle mais je m'efforce de me concentrer sur la pensée positive, pour me réfugier dans une bulle de récits fantasmagoriques.
Tu pourras les utiliser pour les mettre en image...ou pas du tout d'ailleurs ! selon qu'ils t'inspirent ou non, sans que jamais je n'en prendrai ombrage. Sois-en sûre.
:-)
Je t'embrasse.
Ma petite Jenny, sache que si tu es touchée par cette illu, je lui suis tout autant en lisant ce commentaire, et en découvrant chaque fois un peu plus de toi à travers eux. :)
RépondreSupprimerJe dois partir aujourd'hui rencontrer un ami, mais je reviendrais très vite te répondre plus précisément... pour la petite explication quant à la création de cette illu. ^-^
Merci aussi pour ton texte, qui est, oui, vraiment très sombre et sans doute trop par rapport à cette illu, mais que j'aime beaucoup, et qui servira donc assurément de base à une prochaine illu,... parce que gloomymary a sa part d'ombre, et bien que celle-ci me semble appartenir de plus en plus au passé, je ne peux l'oublier et il en restera toujours des traces, aussi infimes soient elles.
Je te souhaite également une excellente journée, Marie. :-)
RépondreSupprimerTu as tout à fait raison : avec le recul, je me rends compte à quel point il y a un réel décalage entre les sentiments de flottement et de bien-être que reflètent ton illustration et mon petit récit autobiographique très sombre.
Les associations d'idées sont parfois inconscientes, foudroyantes et font écho à des histoires vécues et éprouvantes.
-__-'
De fait, je m'en veux un peu d'avoir noirci ton joli trait...
Bises pour toi, Marie.
A très bientôt.
:-)
Tu n'as pas du tout noirci mon joli trait comme tu dis. T'inquiète pas.
RépondreSupprimerC'est vrai qu'il peut y avoir un coté sombre dans cette illu. La fille est seule et dans l'obscurité. Et comme l'eau symbolise souvent l'inconscient et tout ce qui peut s'y passer de positif comme de négatif, on peut donc y voir un coté sombre. Par contre, elle n'a pas l'air mal (bien que dans le premier dessin, elle avait une larme, donc tu vois...) mais plutôt sereine dans ce milieu aquatique apaisant rappelant le ventre d'une mère.
Mon processus créatif est souvent très primaire, je ne réfléchis pas beaucoup à toute une symbolique complexe. Disons que j'ai souvent un thème, et qu'ensuite, je me laisse aller à une impression que m'évoque ce théme... :)
Par rapport à la vente de mes illus, rien n'est encore fait... qu'est-ce que je peux traîner moi des fois. Si tu me files ton adresse mail, je pourrais t'en dire plus concernant mes idées à ce sujet.
Gros bisous gentille et sensible Jenny (que j'apprécie beaucoup... et pas seulement parce que tu es ma fan number 1). ;)
Mon dieu, je saisis seulement maintenant, à la relecture de tes messages, que le récit que tu m'as fait parvenir est une histoire personnelle. :(
RépondreSupprimerQue dire? Evidemment, je suis touchée par ton histoire et ta colère, et je comprends bien mieux à présent ce que tu as pu ressentir à la vue de mon dessin. J'aimerais te mettre le smiley qui te prend dans mes bras, mais on n'est pas sur un forum...
Tout ce que je peux te souhaiter est que tu parviennes à trouver ce que tout les événements difficiles de ta vie t'ont apporté comme qualités au bout du compte.
Bises affectueuses.
Marie
Salut Marie
RépondreSupprimerJe suis très impressionné par tes illustrations. Je les trouve magnifiques!!!
Je garde ton site dans mes favoris.
Bonne continuation
Steph
^-^ merci.
RépondreSupprimerOn dirait que cette fille a grandit depuis la première illustration...
RépondreSupprimerTrès beau travail Marie, j'aime beaucoup la féminité que dégage ce dessin.
Je serais ravie de le voir affiché chez moi...!
Tu mérites une belle reconnaissance publique, j'espère de tout coeur qu'elle viendra bientôt.
Bises
Merci Sandrine. Je comptais justement te l'envoyer, une fois qu'il sera imprimé, et je compte aller voir un ou 2 imprimeur aujourd'hui justement (juste pour renseignements niveaux prix, papiers, ect ... pour l'instant).
RépondreSupprimerBisous.
Marie qui a réussi à utiliser le mot "juste" 3 fois dans une phrase. lol
RépondreSupprimerrrooo quelle belle intention de cadeau :)
RépondreSupprimerSuper que tu ailles chez l'imprimeur aujourd'hui !
C'est Juste génial de sentir que les autres avancent dans leurs projets.